Ecrire a la mort
Et puis il y a tes mots de haine.
Tes mots aphones à force d'ignorance.
Du métal froid incrusté dans le ventre que tu aimes,
Prêt à la mort pour ne pas perdre.
Imbu de toi, de ton vide, de ton rien,
de ta phalange sur l'acier meurtrier,
Sais-tu que ton néant ne vaut pas la folie qu'on te prête.
Je ne te hais pas.
Je te laisse au silence de la fin qui t'approche.