On ne peut pas ecrire sans matiere.
Mais quelle est donc cette matière ?
Je la vois pour ma part de différentes manières.
Sans hiérarchie et incomplète :
- La matière des mots.
- La matière énergie.
- La matière outil.
- La matière de la forme.
Bien sûr, si l'on regarde la définition du mot « matière » dans un dictionnaire, il y a beaucoup à dire sur l'utilisation que j'en fais et j'en connais qui ne manqueront pas d'aboyer.
Mais qu'importe ! Sortons des académismes et créons du bruits, histoire de fendiller les murs.
N'est-ce pas dans le chaos, dans les crises, que l'ordonné devient incongru et cède, quelquefois au prix de larmes et de sang, son espace à de nouveaux chemins ?
Tout empire à une fin. Il suffit d'observer l'histoire avec un macroscope pour en être convaincu.
Tout début porte en lui son contraire et nous cheminons, nous, petits humains, dans l'instabilité d'un infini qui nous dépasse et que, il faut bien l'admettre, nous n'appréhendons qu'à travers des modèles religieux, philosophiques ou mathématiques.
Mon approche n'est pas transdisciplinaire. Elle est juste intuitive. Une sorte de mise en oeuvre à partir de la confluence de mes contingences. C'est l'approche de celui qui écrit au gré des hasards, une approche hors limite, hors carte.
J'écrirai donc des mots de sable portés par le vent pour donner matière à écrire à celle ou celui qui veut bien lire. Pour faciliter la compréhension, je classerai les articles en rapport avec la matière dans la rubrique « la matière ».. Même si cette classification ne me satisfait pas.
.... Un petit coup de Gotan Project ... après .... on verra.....